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# Re: L'histoire sans finMar 6 Déc - 14:02
Il était une fois un cheval monté par une gente dame qui aimait particulièrement les Ibijaux, les cheveux coupés à la Mireille Mathieu et aveugle. Le cheval n'était plus très jeune et marchait très lentement... puis il explosa.
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction de l'Elysée. Il regarda la reine des tartines et déclara...
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction de l'Elysée. Il regarda la reine des tartines et déclara...
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# Re: L'histoire sans finMer 7 Déc - 12:37
Il était une fois un cheval monté par une gente dame qui aimait particulièrement les Ibijaux, les cheveux coupés à la Mireille Mathieu et aveugle. Le cheval n'était plus très jeune et marchait très lentement... puis il explosa.
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et...
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et...
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# Re: L'histoire sans finMer 7 Déc - 12:49
Il était une fois un cheval monté par une gente dame qui aimait particulièrement les Ibijaux, les cheveux coupés à la Mireille Mathieu et aveugle. Le cheval n'était plus très jeune et marchait très lentement... puis il explosa.
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour...
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
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# Re: L'histoire sans finJeu 15 Déc - 18:40
Il était une fois un cheval monté par une gente dame qui aimait particulièrement les Ibijaux, les cheveux coupés à la Mireille Mathieu et aveugle. Le cheval n'était plus très jeune et marchait très lentement... puis il explosa.
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait...
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait...
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# Re: L'histoire sans finVen 16 Déc - 21:28
Il était une fois un cheval monté par une gente dame qui aimait particulièrement les Ibijaux, les cheveux coupés à la Mireille Mathieu et aveugle. Le cheval n'était plus très jeune et marchait très lentement... puis il explosa.
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
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# Re: L'histoire sans finDim 26 Mar - 9:44
Il était une fois un cheval monté par une gente dame qui aimait particulièrement les Ibijaux, les cheveux coupés à la Mireille Mathieu et aveugle. Le cheval n'était plus très jeune et marchait très lentement... puis il explosa.
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
C'est alors que le diplodocus et le canard géant, se sentant menacés dans leur intégrité...
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
C'est alors que le diplodocus et le canard géant, se sentant menacés dans leur intégrité...
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# Re: L'histoire sans finDim 26 Mar - 11:00
Il était une fois un cheval monté par une gente dame qui aimait particulièrement les Ibijaux, les cheveux coupés à la Mireille Mathieu et aveugle. Le cheval n'était plus très jeune et marchait très lentement... puis il explosa.
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
C'est alors que le diplodocus et le canard géant, se sentant menacés dans leur intégrité, chantèrent l'hymne nationale Australienne pour invoquer...
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
C'est alors que le diplodocus et le canard géant, se sentant menacés dans leur intégrité, chantèrent l'hymne nationale Australienne pour invoquer...
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# Re: L'histoire sans finDim 26 Mar - 12:22
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La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
C'est alors que le diplodocus et le canard géant, se sentant menacés dans leur intégrité, chantèrent l'hymne nationale Australienne pour invoquer Carole de la Compta et...
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
C'est alors que le diplodocus et le canard géant, se sentant menacés dans leur intégrité, chantèrent l'hymne nationale Australienne pour invoquer Carole de la Compta et...
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# Re: L'histoire sans finMar 28 Mar - 9:37
Il était une fois un cheval monté par une gente dame qui aimait particulièrement les Ibijaux, les cheveux coupés à la Mireille Mathieu et aveugle. Le cheval n'était plus très jeune et marchait très lentement... puis il explosa.
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
C'est alors que le diplodocus et le canard géant, se sentant menacés dans leur intégrité, chantèrent l'hymne nationale Australienne pour invoquer Carole de la Compta et lui demander sa calculatrice magique.
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
C'est alors que le diplodocus et le canard géant, se sentant menacés dans leur intégrité, chantèrent l'hymne nationale Australienne pour invoquer Carole de la Compta et lui demander sa calculatrice magique.
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# Re: L'histoire sans finMer 26 Avr - 15:25
Il était une fois un cheval monté par une gente dame qui aimait particulièrement les Ibijaux, les cheveux coupés à la Mireille Mathieu et aveugle. Le cheval n'était plus très jeune et marchait très lentement... puis il explosa.
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
C'est alors que le diplodocus et le canard géant, se sentant menacés dans leur intégrité, chantèrent l'hymne nationale Australienne pour invoquer Carole de la Compta et lui demander sa calculatrice magique. Tapant l'opération magique sur la calculatrice, cette dernière leur afficha...
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
C'est alors que le diplodocus et le canard géant, se sentant menacés dans leur intégrité, chantèrent l'hymne nationale Australienne pour invoquer Carole de la Compta et lui demander sa calculatrice magique. Tapant l'opération magique sur la calculatrice, cette dernière leur afficha...
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# Re: L'histoire sans finMer 26 Avr - 15:52
Il était une fois un cheval monté par une gente dame qui aimait particulièrement les Ibijaux, les cheveux coupés à la Mireille Mathieu et aveugle. Le cheval n'était plus très jeune et marchait très lentement... puis il explosa.
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
C'est alors que le diplodocus et le canard géant, se sentant menacés dans leur intégrité, chantèrent l'hymne nationale Australienne pour invoquer Carole de la Compta et lui demander sa calculatrice magique. Tapant l'opération magique sur la calculatrice, cette dernière leur afficha une erreur 404 parce que...
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
C'est alors que le diplodocus et le canard géant, se sentant menacés dans leur intégrité, chantèrent l'hymne nationale Australienne pour invoquer Carole de la Compta et lui demander sa calculatrice magique. Tapant l'opération magique sur la calculatrice, cette dernière leur afficha une erreur 404 parce que...
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# Re: L'histoire sans finMer 26 Avr - 16:18
Il était une fois un cheval monté par une gente dame qui aimait particulièrement les Ibijaux, les cheveux coupés à la Mireille Mathieu et aveugle. Le cheval n'était plus très jeune et marchait très lentement... puis il explosa.
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
C'est alors que le diplodocus et le canard géant, se sentant menacés dans leur intégrité, chantèrent l'hymne nationale Australienne pour invoquer Carole de la Compta et lui demander sa calculatrice magique. Tapant l'opération magique sur la calculatrice, cette dernière leur afficha une erreur 404 parce qu'ils n'avaient pas accès au réseau interne de la boîte. Par conséquent, ...
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
C'est alors que le diplodocus et le canard géant, se sentant menacés dans leur intégrité, chantèrent l'hymne nationale Australienne pour invoquer Carole de la Compta et lui demander sa calculatrice magique. Tapant l'opération magique sur la calculatrice, cette dernière leur afficha une erreur 404 parce qu'ils n'avaient pas accès au réseau interne de la boîte. Par conséquent, ...
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# Re: L'histoire sans finJeu 27 Avr - 11:43
Il était une fois un cheval monté par une gente dame qui aimait particulièrement les Ibijaux, les cheveux coupés à la Mireille Mathieu et aveugle. Le cheval n'était plus très jeune et marchait très lentement... puis il explosa.
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
C'est alors que le diplodocus et le canard géant, se sentant menacés dans leur intégrité, chantèrent l'hymne nationale Australienne pour invoquer Carole de la Compta et lui demander sa calculatrice magique. Tapant l'opération magique sur la calculatrice, cette dernière leur afficha une erreur 404 parce qu'ils n'avaient pas accès au réseau interne de la boîte. Par conséquent, Carole appela Many du Management pour...
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
C'est alors que le diplodocus et le canard géant, se sentant menacés dans leur intégrité, chantèrent l'hymne nationale Australienne pour invoquer Carole de la Compta et lui demander sa calculatrice magique. Tapant l'opération magique sur la calculatrice, cette dernière leur afficha une erreur 404 parce qu'ils n'avaient pas accès au réseau interne de la boîte. Par conséquent, Carole appela Many du Management pour...
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# Re: L'histoire sans finJeu 27 Avr - 12:43
Il était une fois un cheval monté par une gente dame qui aimait particulièrement les Ibijaux, les cheveux coupés à la Mireille Mathieu et aveugle. Le cheval n'était plus très jeune et marchait très lentement... puis il explosa.
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
C'est alors que le diplodocus et le canard géant, se sentant menacés dans leur intégrité, chantèrent l'hymne nationale Australienne pour invoquer Carole de la Compta et lui demander sa calculatrice magique. Tapant l'opération magique sur la calculatrice, cette dernière leur afficha une erreur 404 parce qu'ils n'avaient pas accès au réseau interne de la boîte. Par conséquent, Carole appela Many du Management pour demander à ce qu'on lui ramène des câbles afin de...
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
C'est alors que le diplodocus et le canard géant, se sentant menacés dans leur intégrité, chantèrent l'hymne nationale Australienne pour invoquer Carole de la Compta et lui demander sa calculatrice magique. Tapant l'opération magique sur la calculatrice, cette dernière leur afficha une erreur 404 parce qu'ils n'avaient pas accès au réseau interne de la boîte. Par conséquent, Carole appela Many du Management pour demander à ce qu'on lui ramène des câbles afin de...
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# Re: L'histoire sans finDim 2 Juil - 20:18
Il était une fois un cheval monté par une gente dame qui aimait particulièrement les Ibijaux, les cheveux coupés à la Mireille Mathieu et aveugle. Le cheval n'était plus très jeune et marchait très lentement... puis il explosa.
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
C'est alors que le diplodocus et le canard géant, se sentant menacés dans leur intégrité, chantèrent l'hymne nationale Australienne pour invoquer Carole de la Compta et lui demander sa calculatrice magique. Tapant l'opération magique sur la calculatrice, cette dernière leur afficha une erreur 404 parce qu'ils n'avaient pas accès au réseau interne de la boîte. Par conséquent, Carole appela Many du Management pour demander à ce qu'on lui ramène des câbles afin de se pendre avec. Quand soudain, ...
La gente dame fut très triste, mais elle était protégée par une magie ancestrale et la jeune femme s'envola pour devenir un Ibijau. Seulement, la gente dame avait le vertige et dégringola très vite vers une montagne en pain d'épice. Elle y trouva un banquier tenant un péage de sucreries qui lui offrit deux belles sardines en polystyrène. Sans crier gare débarqua une nuée d'Ibijaux, lesquels avaient pour intention de faire d'elle leur nouvelle coiffeuse-styliste...
Jacques Chirac, exaspéré de voir sa tartine de confiture commencer à parler sous ses yeux jura de transformer les Ibijaux en confettis gonflables bleu et vert. Déterminé, il se leva faisant fi de son douloureux furoncle à la fesse droite et ouvrit le frigo à la recherche de la bague de la gente dame qu'il trouva dans son beurre. Il se mit alors en quête du sanctuaire des ibijaux, derrière le pont de la rivière Kwaï. Pour cela, il lui fallait déjà traverser le pont, lequel était gardé par un canard géant et un diplodocus. Il décida de lancer sa tartine de confiture pour appeler la reine des tartines. Elle vint à lui, mais lui demanda, en contrepartie de son aide de lui refiler la présidence de la République française, ce à quoi il répondit "J'aime les pommes". Il s'agissait d'une formule magique et des pommes jaillirent de la confiture pour partir telles des missiles en direction des fesses du diplodocus et elles manquèrent leur cible pour atteindre la lune qui fusait vers la gente dame aux Ibijaux...
C'est alors que le diplodocus et le canard géant, se sentant menacés dans leur intégrité, chantèrent l'hymne nationale Australienne pour invoquer Carole de la Compta et lui demander sa calculatrice magique. Tapant l'opération magique sur la calculatrice, cette dernière leur afficha une erreur 404 parce qu'ils n'avaient pas accès au réseau interne de la boîte. Par conséquent, Carole appela Many du Management pour demander à ce qu'on lui ramène des câbles afin de se pendre avec. Quand soudain, ...
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