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Connexion# Bar des mille et une nuit (shiva)Dim 20 Nov 2022 - 15:24
Bar des mille et une nuits
« Tout est bon à prendre »
Le bar des mille et une nuits était un bar où on venait pour mille et une raisons. C’était la signification du chiffre 1001. Pour les inconnus, c’était juste un chiffre et pour d’autres, c’était un code. Dans ce bar, la façade était jolie avec des lumières rosées pour qu’il se démarque de ses voisins. Le garde à l’entrée était là pour « filtrer » l’entrée et « vérifier » les clients. Cela restait une façade, un truc pour faire joli et pour dire que la patronne faisait attention à qui venait dans son bar. Mais, en fait, elle s’en foutait de qui venait dans son bar vu que tout le monde était la bienvenue. Il y avait certaines exceptions. Ceux qui mettaient trop le bazar et usaient de violence sur ses filles étaient sur sa liste noire. Oui, vous avez bien lu « ses filles ». La patronne du bar, Nearra Mae, engageait des femmes pour attirer les clients et leur boulot était de les inciter à boire avec l’aide de leur charme. Mais, ça encore, c’était juste un avant-goût de ce que pouvait offrir le bar. Pour découvrir le reste, il fallait le faire soi-même.
Nearra était installé dans sa pièce VIP pour observer ce qui se passait dans son bar. Il était quasi-minuit et c’était l’heure de « pointe » de son bar qui était ouvert jusqu’à l’aube. Ce bar était bien positionné, car il était quand même assez loin des habitations dont le bruit ne dérangeait souvent personne. Ce soir-là, les hommes autour de la patronne étaient un peu plus nombreux. Une rumeur s’était mise à circuler comme quoi on en voulait à sa vie. Enfin, c’était une habitude pour la jeune femme qui n’était pas plus déboussolée ou dérangée que ça de le savoir. Mais, son homme de main avait insisté pour augmenter la sécurité autour d’elle et elle ne pouvait pas lui refuser sa demande. Il avait un bon instinct et préférait lui faire confiance. Elle l’engageait pour ça de toute façon et tant que ses hommes ne la dérangeaient pas, un de plus ou un de moins ne changeait pas ses affaires.
Bien sûre, malgré cette rumeur, elle continuait sa routine, ses visites et ses soirées. Elle ne voulait pas montrer un soupçon de faiblesse à ses adversaires. Quoi que vous fassiez, vous ne réussirez pas à m’évincer de ma place. C’était ce message qu’elle voulait faire passer et jusque maintenant, cela fonctionnait assez bien. Il y avait toujours des fous pour essayer, mais tous en sont morts maintenant.
Avec un verre en main, elle buvait avec calme son cocktail en observant la scène. Elle réfléchissait à ses prochaines actions en silence, car sa pièce était insonorisée pour soulager un peu son esprit. Son pouvoir l’épuisait et bien qu’elle essayait de ne pas trop l’utiliser, parfois c’était plus fort qu’elle. Donc quand elle était dans sa pièce vitrée, elle profitait pour se poser et ne rien écouter. D’un côté, elle voulait régler ce problème avec ses ennemis rapidement, mais elle devait trouver une solution radicale, rapide et surtout silencieuse. Elle ne se doutait pas qu’elle trouverait cette solution avec le prochain invité qui rentrerait dans son bar.
« Tout est bon à prendre »
Le bar des mille et une nuits était un bar où on venait pour mille et une raisons. C’était la signification du chiffre 1001. Pour les inconnus, c’était juste un chiffre et pour d’autres, c’était un code. Dans ce bar, la façade était jolie avec des lumières rosées pour qu’il se démarque de ses voisins. Le garde à l’entrée était là pour « filtrer » l’entrée et « vérifier » les clients. Cela restait une façade, un truc pour faire joli et pour dire que la patronne faisait attention à qui venait dans son bar. Mais, en fait, elle s’en foutait de qui venait dans son bar vu que tout le monde était la bienvenue. Il y avait certaines exceptions. Ceux qui mettaient trop le bazar et usaient de violence sur ses filles étaient sur sa liste noire. Oui, vous avez bien lu « ses filles ». La patronne du bar, Nearra Mae, engageait des femmes pour attirer les clients et leur boulot était de les inciter à boire avec l’aide de leur charme. Mais, ça encore, c’était juste un avant-goût de ce que pouvait offrir le bar. Pour découvrir le reste, il fallait le faire soi-même.
Nearra était installé dans sa pièce VIP pour observer ce qui se passait dans son bar. Il était quasi-minuit et c’était l’heure de « pointe » de son bar qui était ouvert jusqu’à l’aube. Ce bar était bien positionné, car il était quand même assez loin des habitations dont le bruit ne dérangeait souvent personne. Ce soir-là, les hommes autour de la patronne étaient un peu plus nombreux. Une rumeur s’était mise à circuler comme quoi on en voulait à sa vie. Enfin, c’était une habitude pour la jeune femme qui n’était pas plus déboussolée ou dérangée que ça de le savoir. Mais, son homme de main avait insisté pour augmenter la sécurité autour d’elle et elle ne pouvait pas lui refuser sa demande. Il avait un bon instinct et préférait lui faire confiance. Elle l’engageait pour ça de toute façon et tant que ses hommes ne la dérangeaient pas, un de plus ou un de moins ne changeait pas ses affaires.
Bien sûre, malgré cette rumeur, elle continuait sa routine, ses visites et ses soirées. Elle ne voulait pas montrer un soupçon de faiblesse à ses adversaires. Quoi que vous fassiez, vous ne réussirez pas à m’évincer de ma place. C’était ce message qu’elle voulait faire passer et jusque maintenant, cela fonctionnait assez bien. Il y avait toujours des fous pour essayer, mais tous en sont morts maintenant.
Avec un verre en main, elle buvait avec calme son cocktail en observant la scène. Elle réfléchissait à ses prochaines actions en silence, car sa pièce était insonorisée pour soulager un peu son esprit. Son pouvoir l’épuisait et bien qu’elle essayait de ne pas trop l’utiliser, parfois c’était plus fort qu’elle. Donc quand elle était dans sa pièce vitrée, elle profitait pour se poser et ne rien écouter. D’un côté, elle voulait régler ce problème avec ses ennemis rapidement, mais elle devait trouver une solution radicale, rapide et surtout silencieuse. Elle ne se doutait pas qu’elle trouverait cette solution avec le prochain invité qui rentrerait dans son bar.
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# Re: Bar des mille et une nuit (shiva)Lun 21 Nov 2022 - 16:01
Edo était véritablement un de ces petits bonbons que l’on fait fondre sur la langue. Acidulée et fruitée, la république avait bon nombre de choses à proposer, et ce fut en premier lieu ses villes aussi tentaculaires que colorées. Les néons, panneaux publicitaires et enseignes lumineuses composaient une symphonie de clarté au beau milieu des nuits les plus obscures. Ces oasis de béton qui dénotaient avec le reste du pays, très respectueux de la nature et des villages traditionnels, faisaient tout le charme d’Edo, que je visitais pour la première fois. Je m trouvais à Kuroshina, la capitale, et pour ce soir j’avais choisi de déambuler dans les rues, voir ce que cette métropole avait à me proposer.
On peut dire que je comptais sur ce séjour pour me permettre de faire le foufou dans les établissements les plus emblématiques pour faire la fête et rencontrer des gens. J’étais certes Red Rainbow le tueur à gages, mais les délices de la vie étaient infiniment moins ennuyeux que de tuer des mange-merde aux quatre coins du globe. Dans la chambre d’hôtel que j’avais loué pour une semaine, je me préparai à passer une nuit de folie. J’avais recouvert mon visage d’un fond de teint pâle, afin de faire mieux ressortir le fard à paupière indigo et mon rouge à lèvres de la même couleur. Toute ma panoplie de bijoux était de sortie ce soir : boucles d’oreilles, épingles et barrettes d’or dans les cheveux, colliers, bracelets, bagues anneaux et chevalières en tout genre. Ma crinière était complètement relâchée, afin de laisser aux autres le soin d’admirer mes boucles somptueuses. Et en guise de tenue, j’enfilai des santiags cloutées, un pantalon de cuir noir, un t-shirt blanc, ainsi qu’une épaisse veste de motard par-dessus, bardée d’écussons. Enfin, une paire de mitaines de cuir finissaient de compléter mon ensemble de soirée.
Sur mon téléphone, je me réservai deux escort-girl pour la soirée. Les filles de joies sont infiniment plus amusantes que le commun des mortel. J’en savais quelque chose après avoir passé mon enfance dans un bordel. Elles arrivèrent une heure avant le top départ, ce qui nous permis de faire plus ample connaissance. L’une se nommait Nanami, et l’autre Sadara. Pendant que je leur servais un verre de whisky, elles ne mirent pas longtemps avant de poser les premières questions.
– Et vous faites quoi dans la vie, M. Bharani ?
– Oh, ça c’est un secret. Profitez plutôt de la nuit que nous allons passer tous les trois. Hors de question de rester enfermés ici alors que Kuroshina à tant de divertissements en son coeur. Et tutoyons-nous, ma crème, je déteste les formalités. Je ne suis pas votre boss, mais votre client.
– Et où va-t-on aller ?
– Je ne le sais guère. En vérité je ne suis arrivé que hier soir. J’écoute vos suggestions mesdemoiselles.
Elles se regardèrent de concert et sourirent de toutes leurs dents avant de faire leur proposition. Il y avait visiblement un endroit de bonne réputation, qui faisait office de sanctuaire pour celles qui voulaient passer une soirée à l’abri des satyres et autres ivrognes en manque d’amour charnel. Les Mille et une nuits. Adjugé vendu. Quarante-cinq minutes plus tard, nous étions dans un taxi, qui fusait droit vers ce bar.
L’entrée, fort alléchante, était tout en nuance de rose, contrairement aux enseignes voisines. D’après mes acolytes du soir, cela venait du fait que la propriétaire des lieux était une femme. Enfin, c’est ce que les rumeurs disaient. Je fis plutôt sensation en entrant dans l’établissement aux bras de deux sublimes tigresses. Je décelai une pointe de jalousie dans les yeux du videur qui nous laissa entrer, et auquel j’adressai un clin d’oeil de défi. Quand nous fumes à l’intérieur, la musique retentit enfin. Une espèce de synthwave oppressante et hypnotique. Tout ce que j’aimais. Nous nous installâmes sur une des nombreuses tables qui encerclaient le long comptoir. Je commandai une bouteille de champagne ainsi que les flûtes qui allaient avec . Nos verres remplis, nous trinquâmes plusieurs fois d’affilée. Trois bouteilles plus tard, l’ivresse nous avait gagné, et nos conversations ne tenaient plus de fil rouge.
– Je peux … hi hi … faire une confidence ?? Hips.
– On t’écoute, ma crème, héhéhé …
– J’ai déjà bossé ici et je connais la patronne …
– Waouh ! Sans blague !
– J’te jure !
– Et c’est qui elle a l’air de quoi ?
– C’est … une femme très occupée. Puissante aussi. Elle possède un casino …
– Bah, encore une mafieuse si vous voulez mon avis les filles … Que ce soit une femme ou un homme, un voyou est pourri jusqu’à la moelle … Y’a qu’à me regarder.
– Mais t’as pas l’air d’un voyou, Shiva …
– Meuh si. A part me maquiller et m’habiller j’te montre le seul truc dont chui capable …
Je me levai de table et observai ma flûte de champagne. Je durcis la paume de ma main, et d’un coup sec et soudain, j’écrasai avec cette dernière le malheureux récipient. Les filles hurlèrent, puis éclatèrent de rire lorsque je leur montrai l’intérieur de ma main, intact. La flûte, elle, était réduite en bouillie.
– Mais t’as des pouvoirs ?? T’es vachement fort …
– Ouais j’en ai et c’est mon gagne-pain. Hé, Nanami tu veux pas aller chercher une autre bouteille ?
La fille hocha la tête et se rendit jusqu’au bar pour nous rapporter de quoi assouvir notre soif. Pendant ce temps la conversation reprenait son cours, et la soirée se poursuivais également dans l’agitation ambiante propre à ce bar des Mille et une nuits.
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Le bar des Mille et une nuits
Les démons de minuitEdo était véritablement un de ces petits bonbons que l’on fait fondre sur la langue. Acidulée et fruitée, la république avait bon nombre de choses à proposer, et ce fut en premier lieu ses villes aussi tentaculaires que colorées. Les néons, panneaux publicitaires et enseignes lumineuses composaient une symphonie de clarté au beau milieu des nuits les plus obscures. Ces oasis de béton qui dénotaient avec le reste du pays, très respectueux de la nature et des villages traditionnels, faisaient tout le charme d’Edo, que je visitais pour la première fois. Je m trouvais à Kuroshina, la capitale, et pour ce soir j’avais choisi de déambuler dans les rues, voir ce que cette métropole avait à me proposer.
On peut dire que je comptais sur ce séjour pour me permettre de faire le foufou dans les établissements les plus emblématiques pour faire la fête et rencontrer des gens. J’étais certes Red Rainbow le tueur à gages, mais les délices de la vie étaient infiniment moins ennuyeux que de tuer des mange-merde aux quatre coins du globe. Dans la chambre d’hôtel que j’avais loué pour une semaine, je me préparai à passer une nuit de folie. J’avais recouvert mon visage d’un fond de teint pâle, afin de faire mieux ressortir le fard à paupière indigo et mon rouge à lèvres de la même couleur. Toute ma panoplie de bijoux était de sortie ce soir : boucles d’oreilles, épingles et barrettes d’or dans les cheveux, colliers, bracelets, bagues anneaux et chevalières en tout genre. Ma crinière était complètement relâchée, afin de laisser aux autres le soin d’admirer mes boucles somptueuses. Et en guise de tenue, j’enfilai des santiags cloutées, un pantalon de cuir noir, un t-shirt blanc, ainsi qu’une épaisse veste de motard par-dessus, bardée d’écussons. Enfin, une paire de mitaines de cuir finissaient de compléter mon ensemble de soirée.
Sur mon téléphone, je me réservai deux escort-girl pour la soirée. Les filles de joies sont infiniment plus amusantes que le commun des mortel. J’en savais quelque chose après avoir passé mon enfance dans un bordel. Elles arrivèrent une heure avant le top départ, ce qui nous permis de faire plus ample connaissance. L’une se nommait Nanami, et l’autre Sadara. Pendant que je leur servais un verre de whisky, elles ne mirent pas longtemps avant de poser les premières questions.
– Et vous faites quoi dans la vie, M. Bharani ?
– Oh, ça c’est un secret. Profitez plutôt de la nuit que nous allons passer tous les trois. Hors de question de rester enfermés ici alors que Kuroshina à tant de divertissements en son coeur. Et tutoyons-nous, ma crème, je déteste les formalités. Je ne suis pas votre boss, mais votre client.
– Et où va-t-on aller ?
– Je ne le sais guère. En vérité je ne suis arrivé que hier soir. J’écoute vos suggestions mesdemoiselles.
Elles se regardèrent de concert et sourirent de toutes leurs dents avant de faire leur proposition. Il y avait visiblement un endroit de bonne réputation, qui faisait office de sanctuaire pour celles qui voulaient passer une soirée à l’abri des satyres et autres ivrognes en manque d’amour charnel. Les Mille et une nuits. Adjugé vendu. Quarante-cinq minutes plus tard, nous étions dans un taxi, qui fusait droit vers ce bar.
L’entrée, fort alléchante, était tout en nuance de rose, contrairement aux enseignes voisines. D’après mes acolytes du soir, cela venait du fait que la propriétaire des lieux était une femme. Enfin, c’est ce que les rumeurs disaient. Je fis plutôt sensation en entrant dans l’établissement aux bras de deux sublimes tigresses. Je décelai une pointe de jalousie dans les yeux du videur qui nous laissa entrer, et auquel j’adressai un clin d’oeil de défi. Quand nous fumes à l’intérieur, la musique retentit enfin. Une espèce de synthwave oppressante et hypnotique. Tout ce que j’aimais. Nous nous installâmes sur une des nombreuses tables qui encerclaient le long comptoir. Je commandai une bouteille de champagne ainsi que les flûtes qui allaient avec . Nos verres remplis, nous trinquâmes plusieurs fois d’affilée. Trois bouteilles plus tard, l’ivresse nous avait gagné, et nos conversations ne tenaient plus de fil rouge.
– Je peux … hi hi … faire une confidence ?? Hips.
– On t’écoute, ma crème, héhéhé …
– J’ai déjà bossé ici et je connais la patronne …
– Waouh ! Sans blague !
– J’te jure !
– Et c’est qui elle a l’air de quoi ?
– C’est … une femme très occupée. Puissante aussi. Elle possède un casino …
– Bah, encore une mafieuse si vous voulez mon avis les filles … Que ce soit une femme ou un homme, un voyou est pourri jusqu’à la moelle … Y’a qu’à me regarder.
– Mais t’as pas l’air d’un voyou, Shiva …
– Meuh si. A part me maquiller et m’habiller j’te montre le seul truc dont chui capable …
Je me levai de table et observai ma flûte de champagne. Je durcis la paume de ma main, et d’un coup sec et soudain, j’écrasai avec cette dernière le malheureux récipient. Les filles hurlèrent, puis éclatèrent de rire lorsque je leur montrai l’intérieur de ma main, intact. La flûte, elle, était réduite en bouillie.
– Mais t’as des pouvoirs ?? T’es vachement fort …
– Ouais j’en ai et c’est mon gagne-pain. Hé, Nanami tu veux pas aller chercher une autre bouteille ?
La fille hocha la tête et se rendit jusqu’au bar pour nous rapporter de quoi assouvir notre soif. Pendant ce temps la conversation reprenait son cours, et la soirée se poursuivais également dans l’agitation ambiante propre à ce bar des Mille et une nuits.
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# Re: Bar des mille et une nuit (shiva)Mar 13 Déc 2022 - 21:41
Bar des mille et une nuits
« Tout est bon à prendre »
Nearra observait toujours en silence l’intérieur de son bar où l’ambiance tait à son comble comme chaque soir. Les affaires marchaient bien autant pour elle que pour ses clients. Il y avait de tout comme client. Ceux qui sont venus ici pour parler affaires loin des oreilles pendantes, ceux qui viennent juste pour boire un verre sans connaître les arrières du décor et ceux qui cherchent du travail en tout genre. Rien de mieux que de rassembler tout ce petit monde dans un endroit où tout ce qui se disait ici, restait ici. Rares sont les langues trop pendues qui survivaient jusqu’au lever du soleil, car là-dessus, Nearra veillait à protéger les secrets de ses clients.
C’est pour cela qu’au contraire du casino, les gardes étaient d’un type totalement différent. Certains étaient en civil pour passer inaperçus et s’incruster dans la vie du bar et d’autres étaient bien habillés, bien voyant pour lancer un avertissement à ceux qui oseraient gêner la continuité de l’ambiance. Et tous savaient que la protection de cette droit était fiable depuis sa création par la rose noire.
Son regard se stoppa sur l’entrée d’un homme bien accompagné. Les jeunes femmes étaient secondaires, car elle était plus intéressée par l’homme en question. Justement, elle cherchait un homme de son envergure pour un travail. Elle laissait la soirée se passait un long moment pour voir les raisons de sa présence dans son bar. Il semblait être là juste pour profiter du bar sans avoir d’autre recherche en ce lieu. Cet homme était connu dans son milieu et son travail était justement ce que recherchait Nearra actuellement. Elle était chanceuse de le croiser ici et plaisant de voir que son bar était apprécié.
De ce fait, Nearra se levait de sa place et se dirigeait vers la sienne. Elle ne passait pas vraiment inaperçue dans ce bar vu que tout le monde connaissait la patronne. Soit il avait déjà eu affaire avec elle en bien ou en mal, allez savoir ou soit sa façon de se déplacer attirer leur regard. C’est vrai que sa façon de s’habiller était toujours très voyante. Le seul point commun est que c’était toujours une longue robe portante sur le corps avec divers motifs colorés sur elle.
Arriver à la place de l’homme, Nearra les saluait poliment
- « Bonjour, je vois que vous profitez bien des plaisirs de mon bar. Je suis la patronne des lieux, Nearra Mae. Puis-je m’installer à votre table, Red Rainbow ?»
Nearra avait observé les demoiselles qui l’avaient accompagnée et l’une d’elles ne lui était pas inconnue. Elle avait dû travailler ici y a un moment, mais elle ne revenait plus sur son prénom. C’est vrai qu’elle ne gérait pas tous les recrutements dans cet endroit. Elle faisait plus attention aux employés au casino que pour son bar, elle laissait cela à son bras droit.
En-tout-cas, Nearra avait un sourire sur son visage intéressé par l’homme. Juste qu’il convenait pour le travail qu’elle avait besoin, mais elle se demandait comment elle allait en discuter avec les deux demoiselles à ses côtés. Elle ne voulait pas non plus trop s’imposer, car le bien-être de ses clients était toujours prioritaire. Son pouvoir était toujours en action dans cet endroit, car c’était toujours intéressant d’entendre ce que les gens pensent. Le seul défaut est qu’elle ne savait pas encore filtrer les infos. Elle ne savait pas dire de qui cela venait, mais cela pourrait toujours servir. Comme on dit le pouvoir, ce sont les connaissances. Et parfois, des infos qu’on pense inutile peuvent s’avérer utile dans certaines circonstances.
« Tout est bon à prendre »
Nearra observait toujours en silence l’intérieur de son bar où l’ambiance tait à son comble comme chaque soir. Les affaires marchaient bien autant pour elle que pour ses clients. Il y avait de tout comme client. Ceux qui sont venus ici pour parler affaires loin des oreilles pendantes, ceux qui viennent juste pour boire un verre sans connaître les arrières du décor et ceux qui cherchent du travail en tout genre. Rien de mieux que de rassembler tout ce petit monde dans un endroit où tout ce qui se disait ici, restait ici. Rares sont les langues trop pendues qui survivaient jusqu’au lever du soleil, car là-dessus, Nearra veillait à protéger les secrets de ses clients.
C’est pour cela qu’au contraire du casino, les gardes étaient d’un type totalement différent. Certains étaient en civil pour passer inaperçus et s’incruster dans la vie du bar et d’autres étaient bien habillés, bien voyant pour lancer un avertissement à ceux qui oseraient gêner la continuité de l’ambiance. Et tous savaient que la protection de cette droit était fiable depuis sa création par la rose noire.
Son regard se stoppa sur l’entrée d’un homme bien accompagné. Les jeunes femmes étaient secondaires, car elle était plus intéressée par l’homme en question. Justement, elle cherchait un homme de son envergure pour un travail. Elle laissait la soirée se passait un long moment pour voir les raisons de sa présence dans son bar. Il semblait être là juste pour profiter du bar sans avoir d’autre recherche en ce lieu. Cet homme était connu dans son milieu et son travail était justement ce que recherchait Nearra actuellement. Elle était chanceuse de le croiser ici et plaisant de voir que son bar était apprécié.
De ce fait, Nearra se levait de sa place et se dirigeait vers la sienne. Elle ne passait pas vraiment inaperçue dans ce bar vu que tout le monde connaissait la patronne. Soit il avait déjà eu affaire avec elle en bien ou en mal, allez savoir ou soit sa façon de se déplacer attirer leur regard. C’est vrai que sa façon de s’habiller était toujours très voyante. Le seul point commun est que c’était toujours une longue robe portante sur le corps avec divers motifs colorés sur elle.
Arriver à la place de l’homme, Nearra les saluait poliment
- « Bonjour, je vois que vous profitez bien des plaisirs de mon bar. Je suis la patronne des lieux, Nearra Mae. Puis-je m’installer à votre table, Red Rainbow ?»
Nearra avait observé les demoiselles qui l’avaient accompagnée et l’une d’elles ne lui était pas inconnue. Elle avait dû travailler ici y a un moment, mais elle ne revenait plus sur son prénom. C’est vrai qu’elle ne gérait pas tous les recrutements dans cet endroit. Elle faisait plus attention aux employés au casino que pour son bar, elle laissait cela à son bras droit.
En-tout-cas, Nearra avait un sourire sur son visage intéressé par l’homme. Juste qu’il convenait pour le travail qu’elle avait besoin, mais elle se demandait comment elle allait en discuter avec les deux demoiselles à ses côtés. Elle ne voulait pas non plus trop s’imposer, car le bien-être de ses clients était toujours prioritaire. Son pouvoir était toujours en action dans cet endroit, car c’était toujours intéressant d’entendre ce que les gens pensent. Le seul défaut est qu’elle ne savait pas encore filtrer les infos. Elle ne savait pas dire de qui cela venait, mais cela pourrait toujours servir. Comme on dit le pouvoir, ce sont les connaissances. Et parfois, des infos qu’on pense inutile peuvent s’avérer utile dans certaines circonstances.
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# Re: Bar des mille et une nuit (shiva)Mer 21 Déc 2022 - 17:05
Une fois Nanami revenue, nous continuâmes notre conversation jusqu’à ce qu’une troisième tigresse entrât dans l’arène. Elle se présenta à nous, une lueur d’audace dans l’oeil, et je devais bien avouer que nous avions une belle plante. Fine et de taille moyenne, elle avait la peau laiteuse, de longs cheveux blancs, soyeux et d’une beauté immaculée. Cette femme surpassait toutes celles du club en matière de style. Des bijoux somptueux, une tenue digne d’un mannequin qui se rendait à un gala prestigieux … Elle était un petit soleil qui illuminait l’endroit. Elle piqua ma curiosité uniquement par son apparence.
– Bonjour, je vois que vous profitez bien des plaisirs de mon bar. Je suis la patronne des lieux, Nearra Mae. Puis-je m’installer à votre table, Red Rainbow ?
Mes deux invitées pour la soirée restèrent bouche bée. Visiblement il n’était pas habituel pour elles de voir déambuler dans les lieux la patronne du bar des Mille et une Nuits. Pour ma part, je restai également sans voix. La diablesse connaissait mon surnom ainsi que mon visage. Ce n’était pas bon signe, à moins qu’elle ne voulût m’engager pour son compte. D’un simple geste, je fis comprendre à mes comparses de céder leur place à Dame Mae.
– Je vous en prie, Madame. Je suis extrêmement surpris de voir que vous savez qui je suis. Je comptais passer une simple soirée de détente dans votre splendide établissement, mais on dirait que le professionnel me rattrape une fois encore. Si vous connaissez le nom de Red Rainbow, vous savez probablement quels sont les services que j’effectue. Dans le cas contraire, vous êtes ici pour me menacer. Et je n’ai aucune envie de nous voir devenir ennemis, milady. Mais je doute qu’une personne de votre importance se déplace en personne pour se confronter directement avec un tueur professionnel. Je suis toute ouïe, Madame.
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Mae Nearra
Rencontre nocturneUne fois Nanami revenue, nous continuâmes notre conversation jusqu’à ce qu’une troisième tigresse entrât dans l’arène. Elle se présenta à nous, une lueur d’audace dans l’oeil, et je devais bien avouer que nous avions une belle plante. Fine et de taille moyenne, elle avait la peau laiteuse, de longs cheveux blancs, soyeux et d’une beauté immaculée. Cette femme surpassait toutes celles du club en matière de style. Des bijoux somptueux, une tenue digne d’un mannequin qui se rendait à un gala prestigieux … Elle était un petit soleil qui illuminait l’endroit. Elle piqua ma curiosité uniquement par son apparence.
– Bonjour, je vois que vous profitez bien des plaisirs de mon bar. Je suis la patronne des lieux, Nearra Mae. Puis-je m’installer à votre table, Red Rainbow ?
Mes deux invitées pour la soirée restèrent bouche bée. Visiblement il n’était pas habituel pour elles de voir déambuler dans les lieux la patronne du bar des Mille et une Nuits. Pour ma part, je restai également sans voix. La diablesse connaissait mon surnom ainsi que mon visage. Ce n’était pas bon signe, à moins qu’elle ne voulût m’engager pour son compte. D’un simple geste, je fis comprendre à mes comparses de céder leur place à Dame Mae.
– Je vous en prie, Madame. Je suis extrêmement surpris de voir que vous savez qui je suis. Je comptais passer une simple soirée de détente dans votre splendide établissement, mais on dirait que le professionnel me rattrape une fois encore. Si vous connaissez le nom de Red Rainbow, vous savez probablement quels sont les services que j’effectue. Dans le cas contraire, vous êtes ici pour me menacer. Et je n’ai aucune envie de nous voir devenir ennemis, milady. Mais je doute qu’une personne de votre importance se déplace en personne pour se confronter directement avec un tueur professionnel. Je suis toute ouïe, Madame.
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