Les terres du Reykjav se jettent dans la mer avec l'avidité de ses marins, qui sillonnent les mers depuis leur naissance, à la recherche de mystères n'attendant que d'être résolus, ou de défis ne souhaitant que d'être relevés...
On dit qu'il y a plus d'arènes en Iberia que dans tout le reste de Moderna : c'est sans doute lié aux interminables combats de corridas dont ses habitants raffolent. Pour ceux qui n'en sont pas friands, la plage et la mode seront des alternatives moins brutales...
C'est peut-être le pays dont les habitants sont les plus prétentieux, mais on peut reconnaître deux choses : ils savent faire la guerre comme personne... et la bouffe, aussi.
Il serait cliché de vanter la faculté qu'à la République d'Edo à mêler tradition et modernité ; partez simplement du principe qu'il y a, en ces terres, autant de barres d'immeubles flambants neuves couvertes d'écrans publicitaires géants que de temples en bois rénovés au fil des siècles passés.
La grande muraille entoure ce pays aux milliers de casinos. Naissez-y riche ou naissez-y pauvre, et la qualité de votre existence en sera probablement très sévèrement impactée sans que vous ne puissiez rien y faire...
La plus petite d'entre toutes les nations de Moderna en est paradoxalement la plus influente : à force de ne faire la guerre à personne, elle s'est constituée tout un tas d'alliés qui profitent de sa neutralité !
Vous pouvez choisir de monter en haut des montagnes locales, ou tout en haut du Grand Phare de Sklaveria : dans les deux cas, vous dominerez la mer, comme les eleftheriens ont pu le faire au cours de leurs siècles d'existence en tant que peuple conquérant.
Le pays le plus aride de Moderna dispose d'une dynamique que nombre de ses rivaux lui envient : sa jeunesse déborde d'ambition, souhaitant tirer son épingle du jeu à tout prix. Les gens y sont pauvres, mais savent surtout se contenter de peu.